Écouter et surveiller les médias sociaux. Nous trouvons dans cette catégorie des écarts gigantesque entre les solutions gratuites (SocialMention), les services de milieu de gamme (Alerti), les mastodontes US (Radian6) et les services sur-mesure (Synthesio). À ce sujet, je vous signale la publication récente d’un très bon guide par WebLiquid : Social Media Monitoring Tool Buyer’s Guide.
Gérer vos publications. Cette catégorie est beaucoup plus homogène avec de solutions en ligne très abordables comme Hootsuite ou Spredfast et des logiciels comme Tweetdeck ou Socialite.
Gérer vos conversations. Là encore, nous avons des solutions plutôt pragmatiques pour être rapidement opérationnel comme Cotweet ou MediaFunnel.
Personnaliser vos profils ou intégrer des fonctionnalités. Si vous avez un besoin très spécifique, sachez qu’il existe des acteurs de niche comme TigerLilly qui propose des solutions prêtes à l’emploi.
Gérer des campagnes. Les campagnes de recrutement, d’activation ou d’animation demandent beaucoup d’énergie et d’organisation, surtout pour mesurer les résultats. Comme je suis un indécrottable chauvin, je me contenterais de citer Boosket qui propose des outils dédiés dans ce domaine depuis plusieurs années.
Mesurer l’activité. Dernière catégorie, les outils d’analyse et de mesure que l’on trouve auprès d’acteurs de niche comme Sysomos, SocialBakers ou SimplyMeasured.
Via
Fadhila BRAHIMI
90% des entreprises disent comprendre l’impact des médias sociaux sur leur activité mais…seulement 32% les suivent et 14% ont défini des métriques.8% des top managers disposent de rapports liés à ces métriques.La plupart des cadres dirigeants ont un profil linkedin ce qui montre qu’ils sont familiers avec ces outils. (Point sur lequel je mets un énorme bémol : le lien entre la création d’un compte et l’utilisation me semblant très osé).
Mais derrière ce tableau prometteur (sauf en ce qui concerne les métriques), une autre réalité : les outils ont beau être connus et familiers, les enjeux et le potentiel connu, les entreprises n’arrivent pas à en faire un usage systémique (et j’ai bien dit systémique, pas systématique).