C’est une rencontre due au hasard. En 1917, alors qu’il est en route pour Menton, Henri Matisse se retrouve coincé à Nice par un déluge. Alors que le chef de file du fauvisme s’apprête à quitter la ville, le ciel s’éclaircit. Le soleil illumine les ruelles du Vieux Nice, sa promenade des Anglais, il fait ressortir les couleurs de ses villas génoises et touche le peintre au cœur. Qui restera Niçois jusqu’à sa mort.